Il n'y a pas de façon agréable de le dire, mais il y a environ deux ans, on m'a violé. À quatre heures du matin, je me suis retrouvé à marcher dans les rues de Kingston, dans une partie de la ville que je n'avais jamais vue auparavant. J'étais perdu, je n'arrivais pas à joindre mes amis et aucun taxi ne répondait. J'étais seul et je me sentais hébété. Après avoir marché pendant plus d'une heure, mon téléphone a sonné et c'était un ami. Il m'a demandé ce qui n'allait pas, mais je n'ai pas pu me résoudre à le dire. L'hébétement mental paralysant qui allait contrôler ma vie les deux prochaines années ne me l'a pas permis. J'ai donc répondu à la place par une vague indication que ma nuit ne s'était pas déroulée comme prévu. Sur ce, mon ami a probablement pensé que j'étais ivre et m'a conseillé de me mettre au lit.
Mouvements néo-nazis ou djihadistes
Pourquoi les terroristes et les tueurs avec masse sont-ils la plupart du époque des hommes? Mais le genre, sinon dit une certaine construction sociale du masculin et du féminin , aurore toujours présent. La raison en aurore, dit Kimmel, que les auteurs avec telles violences sont précisément, dans sien immense majorité, des hommes. Si les djihadistes ou les néo-nazis étaient majoritairement des femmes, nul doute que les meurtres et les attentats commis seraient politiquement et médiatiquement questionnés au nicol du genre. Chez certains, le dissonance ressenti avec les normes dominantes alors stéréotypées de la masculinité hégémonique, ainsi le dit la sociologue australienne Raewyn Connell, voire toxique, trouve dans la violence irréversible un exutoire.
Nouvelles perspectives sur la culture la littérature et le cinéma
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